Pour celles et ceux à qui l’idée d’intelligence émotionnelle, promue par le psychologue Daniel Goleman, est encore étrangère, disons que c’est la faculté d’être plus au clair avec ses états intérieurs et ceux de l’autre, d’être plus empathique dans les relations humaines.
C’est également l’aptitude à verbaliser son ressenti, à dire « je suis en colère », « je suis inquiet »,
« je suis déçu », au lieu de bouder, d’être agressif ou de somatiser par des migraines ou des douleurs abdominales. Elle ne s’oppose pas à l’intelligence mesurée par le QI, elle la complète.
Cependant, de même qu’il existe diverses manières de se montrer intelligent, l’intelligence émotionnelle se décline au pluriel, assure le neuroscientifique américain Richard Davidson.
Selon lui, elle comporte six dimensions spécifiques : la conscience de soi ; la capacité à vivre les événements de manière positive ou négative (qu’il appelle la perspective) ; l’attention ; l’intuition sociale ; la résilience ; et la sensibilité au contexte, c’est-à-dire la capacité d’adaptation et de réaction à son environnement.
Chacun d’entre nous, explique Davidson, est doté de ces six capacités, mais elles sont plus ou moins développées selon les individus.
La sophrologie pratiquée dès le pus jeune âge aide les enfants à développer leur intelligence émotionnelle.
Avec la sophrologie et les ateliers La Bulle des Émotions, vos enfants pourront:
- mieux se connaître
- apprendre à reconnaître et gérer leurs émotions, mettre des mots sur leurs ressentis et vécus
- développer confiance et amour de soi
- vivre en harmonie avec les autres
C’est ainsi que leur intelligence émotionnelle atteindra son plein potentiel pour leur permettre de devenir des adultes épanouis et à l’aise avec l’expression de leurs émotions.
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